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MEDITATIONS

 

 

Sainte Vierge Marie

Sommaire

sumbul1a  Sainte Vierge Marie. 2

sumbul1aLA VIERGE MARIE ET L'EGLISE DU CHRISTIANISME CÉLESTE. 18

sumbul1aJESUS ! LA SEMENCE DU CIEL DANS L'HUMAIN. 32

sumbul1aDOMINATION DE L'ESPRIT SUR LA CREATION. 40

sumbul1a   LA SAINTE MARIE et la FRANCE. 55

     

1890aUn peu partout dans  le monde,   des cantiques de louange célèbrent et saluent la Sainte Vierge Marie comme «Mère de Dieu» - le crédo récité a chaque culte dans nos Eglises, honore son enfant,   notre  Seigneur Jésus-Christ comme «Fils unique de Dieu».

Ces deux dénominations nourrissent encore   malheureusement, incompréhension et discorde. Même les positions théologiques des trois religions monothéistes -     (Judaisme, Christianisme et Islam) sont encore loin de se rapprocher sur ces formulations, qui, en réalité, fluctuent selon le fondement de notre édification devant des réalités, certes humaines, mais nouvelles en esprit que seul le Père de toute la Création a voulues et décidées.

Si la confusion n'est toujours pas levée, le Saint-Esprit (par la bouche  de I'Apôtre Paul) nous a déjà ouvert les yeux. Dans l’Epître aux Colossiens Chapitre 1: 15-18, il nous rappelle que: «Le Fils est I 'image de Dieu, invisible, le premier-né, de toute la création. Car en lui a été créé toutes choses qui sont dans les cieux et sur la terre, les invisibles et visibles,    trônes,    dignités, dominations, autorités. Tout a été créé par lui et pour lui. II est la tête du corps de I'Eglise; il est  le   commencement,   le premier né d'entre les morts afin d'être en tout le premier. »

En pesant chaque mot de cette lecture, que peut-il avoir de    scandaleux    ou    de blasphématoire, toute métaphore mise à part, à parler de la Vierge Marie comme «mère de Dieu» ? Seulement, reconnaissons-le, le voile persiste encore dans nos cœurs et notre intelligence. Car, comment Dieu qui est incréé, peut-il avoir une mère  ? (s'insurgent des hommes de foi peu enclins à comprendre).

Même ceux de nos frères (musulmans)  qui, eux, reconnaissent inconditionnellement en Jésus de Nazareth un grand prophète de «Allah-» hors du commun sous le nom de «NABI YISSA», et honorent par ailleurs la Sainte Vierge Marie, il n'est pas question pour eux, sous peine de blasphème, de lui reconnaître le titre de «mère de Dieu».

Nos formulations seraient -elles erronées ? Le Saint-Esprit aurait-il menti ? Quelle est la position du Christianisme Céleste sur ces questions ?

 

LA VIERGE MARIE ET L'EGLISE DU CHRISTIANISME CÉLESTE

 

1578aAfin d'amortir le choc psychologique causé par l'intérêt ainsi que la profondeur spirituelle des questions soulevées, la seule réponse que nous avons pu avoir dans un des écrits d'une de nos paroisses de France, sont une «redite» - (cf.  prières et exhortations, p. 18, Paroisse de Champigny) : «La Vierge Marie ne serait-elle pas simplement un instrument de Dieu ?» Qui peut soutenir le contraire d'une question  aussi   évidente ? Seulement attention ! Serait-ce là concrètement une manière d'aider celui qui veut comprendre les choses de Dieu à mieux vivre le mystère de la foi ? (Ephesiens 2:8-10). Une autre chose peut difficilement être contestée; c'est le peu de cas (ou de place) qui est faite, actuellement, à la Sainte Vierge, dans la liturgie de l'Eglise du Christianisme Céleste.

Pourtant nous savons que depuis 1977, le feu Pasteur OSCHOFFA avait ordonné qu'un culte spécial soit adressé à la Vierge Marie tous les 1er Vendredi de juillet dans l'Eglise. Autrement dit, à une période approximative d'un mois de l'Assomption (15 Août), autre jour de célébration de la Vierge Marie dans le monde, depuis la décision d'un Pape en 1954.

 

Ce qu'on ne sait toujours pas dans l'E.C.C.,    c'est   si l'ordonnance d'OSCHOFFA se limite exclusivement à cette date ou, compte tenu des circonstances qui l'ont amené à prendre cette décision, il s'agissait au contraire d'une invitation de la congrégation à constamment invoquer la Sainte Vierge Marie dans toutes nos prières à chacun de nos cultes ? Le flou institutionnel est encore de mise.

II faut toutefois se rendre à  l'évidence. Un  lien irréductible et indissociable à notre compréhension, unit bien dans le mystère qui nous a été révélé, la Sainte Vierge Marie à Jésus-Christ.

Le rapprochement de la vision de l'Apôtre Jean dans l’Apocalypse avec celle que le feu Pasteur OSCHOFFA lui-même avait eu, nous éclaire encore davantage  sur la profondeur jusque-là insoupçonnée de tout ce qui a rapport et se fait dans l'E.C.C.

En effet, si le Christ ressuscité, avait tenu à révéler à son disciple bien aimé et «frère», le mystère    de  sa propre conception, c'était pour  lui attester sa nature divine et par la même occasion, celle de son Père qui est dans les cieux;

- "Pure, Sainte, sans ombre ni souillure". Son Père et lui-même, (devrions-nous dire, si nous nous souvenons de cette interpellation : «Femme, qu'y a t-il entre toi et moi ?»), semblent avoir choisi la Sainte Vierge dont le corps n'était pas encore souillé pour servir de réceptacle à la semence du ciel par le Saint-Esprit ansi: «...une femme enveloppée de soleil, la lune sous ses pieds et une couronne de douze étoiles sur sa tête....     était    enceinte.. (Apoc.12:1-2).

Le   Prophète   Pasteur OSCHOFFA, lui par contre, avait dans sa vision du 15 juillet 1977, vu : « une belle femme blanche couverte de la tête aux pieds, d'un vêtement bleu et positionnée comme si elle protégeait   quelque   chose... (Puis), elle se souleva pour montrer   que   ce   qu'elle protégeait était un bébé portant une couronne. Et, elle dit en montrant l'enfant du doigt :

«Voici Jesus-Christ, son âme est sainte, son esprit est saint. II est la vie éternelle.» (cf. le jour de la  Vierge  n°99-G  de   la Constitution- Nigéria). OSCHOFFA, indéniablement, a eu la confirmation de la révélation précitée de l'Apôtre Jean. Plus encore, son prolongement. Car, si ce qui avait été porté à la connaissance de l'Apôtre se limitait au mystère de la conception du Seigneur, OSCHOFFA lui, a eu la grâce de l'Enfant dans toute sa gloire après sa naissance.

En discernant un peu, cet enfant avec sa couronne ne pouvait être, en esprit, que le Seigneur   Jésus-Christ.   En d'autres termes, l'Eglise sans tache ni ride à ses débuts que la Sainte  Vierge   présente   à nouveau au Pasteur OSCHOF­FA, vingt ans après l'avènement de l'Eglise du Christianisme Céleste.   C'est   donc   la confirmation que tout bon chrétien céleste doit nécessairement voir (prophètes et visionnaires), comprendre et vivre (Leaders et fidèles) dans la Lumière et la vérité de Dieu.

Tout, dans la Sainte Eglise venue des cieux a donc besoin de gagner en clarté et en sainteté. A cause de la nature véritable   du   Christ,   le syncrétisme n'a pas de place dans l'E.C.C. L'introduction des choses du monde, même celles qu'on considère souvent comme « bonnes»  ne  peuvent  être qu'abominables. (Jer. 7,4-7).

 

JESUS ! LA SEMENCE DU CIEL DANS L'HUMAIN

 

Jésus-Christ, est Dieu lui-même qui s'est fait chair (Jean 1:1-3). C'est la raison pour laquelle la Sainte Ecriture, selon la prophétie de Esaïe dit, à la suite de l'Evangile de Jean 1:1-3 : « Lorsque les temps ont été accomplis, Dieu a envoyé son Fils, né d'une femme, né sous la loi, afm que nous recevions I 'adoption  (Gal. 4:4-5).   Ici 1820aencore,    comment    serait-il possible   d'accepter spirituellement la double nature du Seigneur Jésus-Christ tout en continuant par des spéculations et des raisonnements intellectuels à refuser à la Sainte Vierge Marie de porter le titre de «mère de Dieu» ?

Il est vrai qu'à aucun moment, nous n'avons entendu Jésus prétendre être Dieu à la place du Père. Tout au contraire. Il nous a toujours parlé de son Père (Jean 14:1-4). Le Seigneur, ne fait pas non plus partie, nous le savons «des deux témoins, qui, continuellement  se tiennent devant le Seigneur de toute la terre» (Apoc. 11-4).

Enfin, on ne saurait le réduire au rang d'un prophète, même hors du commun. Puisque, lui-même dit: «parmi ceux qui sont nés de femmes, il n 'en a point paru de plus grand que Jean-Baptiste... Car tous les prophètes et la loi ont prophétisé jusqu'à Jean... » (Matt. 11:11 et 13).

Mais ce qu'il n'a cessé de dire à tous ceux qui ne voulaient pas croire à ce qu'il est en vérité : «Vous êtes d'en bas, moi je suis d’en haut. Vous êtes de ce monde, moi je ne suis pas de ce monde». (Jean 8,2-3).

 

Jésus a tout de même proclamé tout le temps, sa «consubstantialité» avec son Père. C'est aussi cette vérité de la Sainte Ecriture que la Sainte Vierge Marie, "mère de l'Eglise", a tenue à révéler en personne à OSCHOFFA. Son Fils n'est pas de l'ancienne race d'homme adamique; mais le premier-né des enfants de Dieu, c'est à dire des enfants d'esprit dont la nouveauté est que   tous, «reçoivent leur semence du ciel; semence qui germe et croit (en eux)   sans   qu'ils sachent comment» (Marc 4,27) et (Jean 1:1-3) - Grâce à Christ et à sa mère, ce ne sont plus les liens de chair et de sang qui prévalent et dominent mais les liens d'esprit. Et sans le vouloir, la Sainte Vierge Marie est devenue la   mère  d'une   nouvelle humanité.

 

DOMINATION DE L'ESPRIT SUR LA CREATION

Jérémie, le prophète, lançait déjà : «Maudit soit I'homme qui se confie dans I'homme; qui prend la chair pour appui et qui détourne son cœur de I 'Eternel ? II est comme un misérable dans le désert et il ne voit point  arriver  le bonheur»(17:15-16)

Pour bien comprendre de quoi il nous parle, il faut se souvenir que l'Eternel avait fini par condamner Israël parce que son peuple «se détruisait par manque de connaissance» (Osée chap. 6). Le même reproche était fait "aux pharisiens par le Seigneur Jésus-Christ. Car ils avaient pour habitude «de ne juger toute chose que selon la chair» (Jean 8,15).

 

Les choses de l'Esprit nous sont aujourd'hui accessibles parce que nous sommes enfants  de   Dieu. Pourquoi alors contester (et qui peut contester) à la Sainte Vierge Marie d'avoir été choisie pour   recevoir   une   grâce exceptionnelle dans son corps de femme ? Comme tous les élus de Dieu, elle et Elisabeth n'avaient-elles pas joui de la plénitude de la force du Saint-Esprit ? Comme bien d'autres serviteurs de Dieu, n'en étaient-elles pas remplies ?

 

La   gloire   inaltérable accordée par le Très-Haut à la Sainte Vierge Marie comme «mère du Fils de Dieu» ne souffre d'aucun doute. Les paroles d'Elisabeth   soient encore à nos oreilles : «Tu es bénie entre toutes les femmes et le fruit de tes entrailles est béni...Heureuse celle qui a cru parce que les choses qui lui ont été dites de la part du Seigneur auront leur accomplissement» (Luc 1:43 et 45).

II n'y a aucun blas­phème à appeler la Sainte Vierge Marie mère de Dieu. Ce qui du reste signifie simplement «la mère» que Dieu lui-même s'est choisie. Nous en sommes convaincus à l'image de la séparation de la relation de chair qui s'était opérée entre Marie et le Christ sur la croix, lors de son agonie. Jésus, se faisant substituer en chair par Jean, son disciple bien-aimé n'avait -il pas dit :

"Femme, voilà ton fils. Puis au disciple : Voila ta mère..." ? (Jean 19,27).

De la sorte, le Seigneur ne  retrouvait-il pas    sa véritable nature divine ? Celle qu'il avait révélée à ses disciples maintes fois en ces termes : «Je suis sorti du Père et je suis venu dans ce monde, maintenant je quitte le monde et je vais au Père» (Jean 16,28).

Le Pasteur OSCHOFFA et l'Eglise qui lui a été confiée sont désormais convaincus de la véracité de ce mystère qui nous a été révélé par l'Eternel. Que son  nom  soit  exalté de génération en génération.

 

Que la Sainte Vierge Marie, la mère du Fils unique de Dieu et de l'Eglise, soit bénie. Qu'elle intercède constamment pour la Sainte Eglise venue des cieux, afin que la Lumière que nous avons reçue ne se ternisse jamais. Qu'elle prie également et demande à son Fils que les nouveaux fossoyeurs de son Eglise soient aussi balayés comme au temps d'Hérode, afin que la Paix et  la joie accompagnent le renouveau du Christianisme Céleste. AMEN.

 

Devancier Claude D'ALMEIDA

(archive 2001)

 

LA SAINTE MARIE et la FRANCE

La France fut la terre d'élection de Marie. La dernière partie de l'Ave Maria aurait été révélée à Paris en 1198. L'Angélus est né en France, le Salve Regina a été composé par Adhemar de Monteil, le Rosaire propagé par Saint Dominique. Le roi Louis XIII a donné à son royaume la Vierge Marie comme patronne, en la consacrant solennellement le 15 août 1638   avec   la   valeur de loi constitutionnelle... Et on note aujourd'hui une permanence de la ferveur mariale chez les Français.

 

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